Attention à ne pas fléchir les jambes au moment de se tracter, ni monter le bassin, cela casserait complètement l’esthétique du mouvement. C’est le fait de monter le corps qui permet au bassin de passer devant la barre, mais le corps dans son ensemble doit rester bien vertical.
Ce spin est totalement différent des précédents, puisque le corps va cette fois tourner autour de la barre en position horizontale et ramassé en boule. De plus, il tourne dans le sens inverse au sens habituel.
On est de côté par rapport à la barre, mais de l’autre côté. C’est donc la main faible qui est sur la barre, en position très basse : full bracket grip, doigts vers le bas, intérieur du poignet vers le haut.
La main forte va se placer en baseball grip (pouce vers le haut), pas trop haute : à peu près au niveau du front, le bras doit être un peu plié.
La jambe extérieure va décoller du sol tendue vers l’extérieur et horizontale, et entraîner le reste du corps en allant vers la barre, puis se plier au moment où le deuxième pied décolle à son tour.
Les deux jambes sont jointes, le plus fléchies possible, et on s’enroule autour de la barre, de sorte que celle-ci soit placée entre les cuisses et le creux de l’estomac. Le corps est horizontal et de côté, ramassé en boule, et tourne donc dans le sens inverse au sens habituel (sens inverse des aiguilles d’une montre pour les droitiers) donc jambes en avant.
Pour atterrir, la jambe la plus proche du sol se tend suffisamment pour poser le pied au sol, on continue la rotation pour arriver face à la barre, et on l’accroche avec la jambe haute, en B hook (mouvement de transition, voir page 9)
Utilisez ces deux clips, démontrant la figure en vitesse réelle et au ralenti, pour pratiquer des exercices de visualisation mentale. Attention : concluez vos exercices de visualisation mentale par une exécution en vitesse réelle, jamais par un ralenti.
On est de côté par rapport à la barre, mais de l’autre côté. C’est donc la main faible qui est sur la barre, en position très basse : full bracket grip, doigts vers le bas, intérieur du poignet vers le haut.
La main forte va se placer en baseball grip (pouce vers le haut), pas trop haute : à peu près au niveau du front, le bras doit être un peu plié.
La jambe extérieure va décoller du sol tendue vers l’extérieur et horizontale, et entraîner le reste du corps en allant vers la barre, puis se plier au moment où le deuxième pied décolle à son tour.
Les deux jambes sont jointes, le plus fléchies possible, et on s’enroule autour de la barre, de sorte que celle-ci soit placée entre les cuisses et le creux de l’estomac. Le corps est horizontal et de côté, ramassé en boule, et tourne donc dans le sens inverse au sens habituel (sens inverse des aiguilles d’une montre pour les droitiers) donc jambes en avant.
Pour atterrir, la jambe la plus proche du sol se tend suffisamment pour poser le pied au sol, on continue la rotation pour arriver face à la barre, et on l’accroche avec la jambe haute, en B hook (mouvement de transition, voir page 9)
Attention, le bras du bas doit rester très tendu, afin que le corps ne s’affale pas pendant la rotation. Le bras du haut, quant à lui, reste bien fléchi, car il sert en fait à nous tracter afin de maintenir tout le corps en place pendant le spin.
Comme tous les spins, celui-ci peut bien sûr se faire dans les deux sens, mais il est généralement plus facile de le travailler d’abord de son côté inhabituel, car cela permet de garder la main forte, qui doit faire le plus gros travail en nous tractant, en haut de la barre.
Il est très important de bien ramasser le corps “en boule”, ce qui nous rend plus léger, permet de tourner plus vite, et rend le mouvement plus net.
Le reverse est également une attitude (les deux jambes pliées en ouverture, position appelée aussi sunwheel, notamment aux USA, ou stag legs en Australie) mais en marche arrière, sur le même principe que le back hook.