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  • Explications #F211E

    Standing spin

    20040

    Main intérieure bien haute mais un petit peu moins que d’habitude car on va se tracter, bras légèrement fléchi, épaule basse.

    On se tourne vers la barre, la jambe extérieure vient se placer fléchie à angle droit contre la barre, bas de jambe parallèle à cette dernière et la longeant, pied pointé vers le sol. 

    La main extérieure vient se poser juste en dessous de l’autre main. Les deux mains sont hautes, car on va ensuite se tracter vers le haut, tout en repoussant le sol du pied intérieur. 

    Le corps tout entier monte, tout en s’enroulant autour de la barre, et le tronc se colle à cette dernière, tandis que la deuxième jambe vient se placer en miroir de la première, de l’autre côté de la barre mais collée. 

    On continue à tirer sur les bras, qui restent pliés pendant tout le spin. Les pieds sont toujours pointés et passent derrière la barre pendant que l’on tourne, ils ne se fléchissent qu’au moment de l’atterrissage. 

    Une fois les pieds posés au sol, on descend les mains sur la barre à la hauteur de la poitrine, et on tend d’abord les jambes, avant de redresser le haut du corps en frôlant la barre avec la poitrine. Cette façon de sortir du mouvement s’appelle une remontée push up.

  • Alternative #F211F

    Standing spin

    20070 – 20081
  • Tips #F211G

    Standing spin

    20110

    Tips 

    Attention à ne pas placer les deux jambes en même temps sur la barre : la jambe extérieure se place d’abord, puis la jambe intérieure au moment où l’on saute en se tractant. Autrement, on perd la fluidité de l’enroulement autour de la barre, ce qui fait que l’on tourne moins, et on risque de « rater » l’interstice entre les jambes, en cognant douloureusement un genou sur la barre.

  • Débutant 1, famille de spins #F202

    Les spins (non inversés) :

    Niveaux : Initiation, Débutants (1 et 2), Intermédiaires (1 et 2), Avancés 

    Famille A : Les spins face à la barre.

    • basic fireman *
    • fireman cross leg *
    • standing spin 1
    • fireman horizontal leg * 1
    • fireman straight leg 2
    • fireman push up * 1
    • sitting spin 2 

    Famille B : Les hooks.

    • close front hook
    • open front hook *
    • back hook * 1
    • extended leg whip 1
    • the priest 2

    Famille C : Les attitudes.

    • knee attitude 1
    • heel attitude * 1
    • no legs attitude 1
    • the reverse * 1
    • the forwards * 2
    • basic reverse grab 1
    • arm attitude
    • attitude kick 2

    Famille D : Les enroulés horizontaux.

    • the craddle * 1
    • cradle leg extension * 2
    • tuck spin ou basic cradle 2
    • cradle splits 1
    • cradle straight legs 2

    Famille E : Les full bracket grip corps vertical, face à la barre.

    • Carousel *
    • boomerang * 2

    Famille F : Les enroulés verticaux dorsaux.

    • Corkscrew * 1
    • corkscrew attitude 2
    • the priest 2
    • the angel

    Famille G : Les variantes de la chaise.

    • the chair * 1
    • chair glide * 2
    • chair straight legs * 2
    • the concord 1

    Famille H : Side spin et dérivés.

    • side spin * 2
    • side spin extension 2
    • V on pole 1
    • back V on pole

    Famille I : Les reverse grab et dérivés.

    • basic reverse grab * 1
    • reverse grab one handed 2
    • reverse grab straight legs 2
    • reverse grab to chair 2
    • reverse V to angel
    • reverse grab to V
    • reverse speed ball attitude

    Famille J : Les inclassables.

    • super back wheel
    • boomerang one handed
  • Aborder la “parade” #F1C4

    Méthode pédagogique

    10980

    Dans la mesure où vous pouvez être amené, même au niveau initiation, à enseigner à vos élèves quelques poses sur la barre un peu plus aériennes que les spins basiques, il est important d’avoir, dès à présent, au moins les bases de ce qu’est une bonne parade.

    Certains élèves auront parfois du mal à oser même essayer une figure, simplement à cause de la peur de tomber, de ne pas tenir sur la barre. La plupart n’ont jamais tenté ce type d’exercice, et ne savent pas si leurs muscles seront suffisamment forts.

    Il ne faut pas laisser ce manque de confiance s’installer, et les empêcher d’avancer. La meilleure façon de les rassurer est parfois de leur proposer d’essayer de faire le mouvement avec votre aide.

    De plus, vous pourrez à ce moment leur donner des indications précises, afin de compenser la perte de repères qui accompagne généralement toute posture inversée.

    Mais attention : aider ne veut pas dire « faire à la place de » Si vous portez complètement l’élève lors de sa tentative, il ne sentira pas le mouvement, ni les parties de son corps qu’il doit impliquer pour le réussir !

    Une bonne parade est là pour rassurer avant tout : l’élève doit sentir que, s’il venait à lâcher, il ne tomberait pas car vous le tenez.

    Eventuellement, si une personne a vraiment du mal à ressentir comment il doit faire un mouvement, vous pouvez l’aider en le portant sur une petite distance, pour qu’il trouve, justement, la sensation. Mais si vous lui faites faire complètement le mouvement, il sera toujours incapable de le faire seul. Parer, c’est en fait guider et sécuriser.

  • Aller au bout de chaque mouvement, préparer le suivant #F1A1

    Aborder la choré par des enchaînements courts

    Exécuter des figures de pole dance une à une peut être relativement simple, mais les enchaîner et les lier entre elles de façon harmonieuse et fluide est une toute autre histoire.

    Les débutants en pole, notamment s’ils n’ont pas de bases préalables en danse, ont tendance à se contenter de faire la figure elle-même, sans trop se soucier de bien la commencer, ni d’aller jusqu’au bout de celle-ci pour bien la terminer.

    Ils ne comprennent pas toujours qu’une chorégraphie n’est pas un catalogue, prétexte à montrer toutes les figures que l’on sait faire, mais qu’au contraire les figures viennent enrichir un enchaînement de mouvements qui sont une expression de la musique par le corps que l’on appelle chorégraphie, et que c’est elle qui compte en réalité.

    Les toutes premières fois, la confusion est bien compréhensible, car il y a déjà tant d’informations à assimiler et tant de points techniques à maîtriser, que les élèves sont bien contents s’ils arrivent à tourner de façon à peu près gracieuse et à se poser en douceur !

    Mais très vite, il est important de prendre conscience du fait que plus un mouvement est bien préparé, plus il sera beau, et que plus ce même mouvement sera propre et bien fini, plus fluide sera l’enchaînement avec le mouvement  suivant, et ainsi de suite…                                                                 

    Par exemple, le step around n’est réellement net et dynamique que si l’on ouvre d’abord la poitrine et la hanche, au moment où la jambe extérieure se lève, avant de « fermer » le mouvement en tournant autour de la barre.

    A la fin du mouvement, le changement de pied d’appui doit également être bien marqué et ressenti, afin de retrouver tout son équilibre pour la suite de l’enchaînement, et de donner tout son dynamisme à ce mouvement.

    De la même manière, il faut insister sur l’importance du repositionnement de la main entre deux figures, même très simples. Autrement, on repart avec une mauvaise prise ou un mauvais appui, et on n’a plus ni la force ni l’équilibre nécessaires pour la suite.

  • Pour résumer #F163

    Ce type de tricks, qui sont des positions statiques sur la barre, s’appellent aussi des holds (du verbe anglais “to hold”, qui peut se traduire par “tenir”, “retenir” ou encore  “maintenir”. On doit donc conserver cette position la plus stable possible, en “tenant” la pole avec les prises de son corps. 

    Ces dernières sont créées par la contraction musculaire, mais aussi et surtout par la peau de la zone impliquée. Plus il y a de contact entre la peau et la pole, plus il est facile de tenir, grâce à la friction, et moins on a besoin de serrer sa prise. 

    Il faut également comprendre que c’est surtout lorsque l’on glisse un peu sur la barre, et que cela tire sur notre peau, que la prise devient douloureuse. Il faut donc serrer bien fort quand on sent qu’on glisse légèrement, pour que ce soit plus confortable, ce qui est un peu contre-intuitif.

  • Difficulté et risque #F162A

    Seat

    Niveau : débutant 1

    Difficulté ★★★☆☆
    Avec des efforts et de la méthode


    Risque ★☆☆☆☆
    Très peu risqué

  • Démonstration #F162B

    Seat

    10710

    On est cette fois assis sur la barre, jambes croisées. 

  • Points clé #F162C

    Seat

    10714
    1. Comme pour le crucifix, on peut soit se tracter, soit grimper pour se placer. 
    2. Une fois à la bonne hauteur, on croise vite ses cuisses autour de la barre le plus serrées possible, en contractant ses adducteurs, afin de verrouiller la prise au niveau de l’entre-jambe. La barre est donc contre l’os pubien.
    3. Si l’on se sent instable, pour consolider la position, on plie la jambe du dessous et on enroule un peu le pied flex derrière la barre, ce qui allège la pression sur le haut des cuisses et offre une prise supplémentaire. 
    4. On peut alors lâcher les mains, voire passer l’épaule de la jambe haute devant la barre, pour une pose encore plus gracieuse. Quand on maîtrise ce trick, on peut tendre la jambe basse, voire les deux en croisant les chevilles, ou même faire des kicks en gardant les genoux joints.