partie Tag : pro

  • Alternative #F131F

    Marche autour de la barre

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    On peut ajouter des cercles de tête, ou jouer avec les accélérations et les ralentis.

  • Tips #F131G

    Marche autour de la barre

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  • La force centrifuge #F122

    Physique et acrobatie

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    La force centrifuge est au centre, c’est le cas de le dire, de ce qui différencie la pole dance de toutes les autres disciplines aériennes en termes de technique pure.

    En effet, si les techniques du tissu ou de la corde lisse, par exemple, sont parfois très proches de celles de la pole, cette dernière est la seule à utiliser un point d’appui cylindrique mais fixe, sur une base au sol.

    C’est la raison pour laquelle, une fois le mouvement dûment imprimé au corps, celui-ci va pouvoir tourner beaucoup mieux et plus longtemps, d’une façon harmonieuse et continue…

    A condition de toujours affirmer l’axe du corps, car autrement  la gravité terrestre reprend le dessus, et on s’écroule lamentablement ! 

    C’est aussi pour cette raison que la pole dance tonifie autant tous les muscles du corps, même au niveau le plus débutant. Car sans en avoir conscience, le danseur est obligé de toujours affirmer l’axe de son corps en engageant sa ceinture abdominale notamment, sous peine de ne rien pouvoir faire sur une barre… 

    “Une force désigne toute cause capable de modifier la vitesse ou la trajectoire d’une masse” 

    Centrifuge signifie ‘‘qui éloigne du centre’’. 

    Ainsi, selon cette définition, une force qualifiée de centrifuge devrait pouvoir éloigner une masse quelconque d’un centre ou d’un axe de rotation selon une trajectoire radiale, c’est à dire dans la direction indiquée par le prolongement d’un rayon » (source : Wikipedia)

    D’autre part, la force centrifuge aide le corps à se porter lui-même, en allégeant son poids. C’est facile à vérifier : dès que l’on essaye de prendre la position générale d’un spin quelconque sans tourner, on a immédiatement l’impression d’être beaucoup plus lourd !

    En mode statique, c’est au danseur d’imprimer le mouvement de rotation, en utilisant soit quelques pas pour prendre de l’élan, soit son propre poids qu’il va lancer en avant, en arrière, ou en s’éloignant de la barre, pour obtenir différents résultats.

    Plus on s’éloigne de la barre, mieux on tourne dans ce mode, même si c’est un peu plus lentement.

    L’idéal est de bien prendre de la distance par rapport à la barre lors de la préparation du spin, et de se rapprocher petit à petit (de toute façon, on n’a, pas le choix, puisqu’on est accroché à la barre) sur la fin du mouvement pour accélérer un peu tout en prolongeant la figure.

    En mode rotatif ou spinning mode, la force centrifuge est beaucoup plus puissante. Le danseur doit donc utiliser beaucoup plus sa propre force pour se maintenir sur la barre et pour ne pas lâcher prise.

    Il doit également faire preuve de beaucoup de contrôle au moment de « monter » sur la barre, afin de ne pas prendre trop de vitesse.

    Plus on s’approche de la barre, donc de l’axe central de rotation, plus la vitesse s’accélère. Pour ralentir, il faut s’éloigner de la barre, mais il peut s’avérer suffisant, si l’on veut ralentir légèrement, d’éloigner seulement une partie du corps, comme un bras ou une jambe.

    Si on éloigne tout le corps, on ralentit bien davantage. Mais tant que l’on n’est pas à l’arrêt, il suffit de se rapprocher pour accélérer de nouveau.

    Ce qui permet de jouer avec les accélérations et les ralentissements de la musique, rendant la performance encore plus impressionnante.

  • Histoire #F1212

    Les bases

    La plupart des sources s’accordent à dire que l’actuelle pole dance serait née au Canada, probablement dans les années 20, au moment de la Dépression. Des troupes foraines se déplaçaient alors de ville en ville, installant leurs multiples petites tentes autour de la principale, chacune réservée à une attraction spécifique.

    L’une de ces tentes, réservée aux adultes, abritait parfois les Hoochie-Coochie dancers, des jeunes femmes légèrement vêtues (pour l’époque !), ainsi nommées en référence au balancement suggestif de leurs hanches.

    Du fait de la taille réduite de ces tentes, la barre (pole, en anglais) centrale qui soutenait la toile devait se situer au centre même de la petite scène, et certaines danseuses ont commencé à s’en servir comme appui, avant de l’intégrer à leurs mouvements de danse, créant par là même un type de show plus spectaculaire et divertissant, qui ne perdait pourtant rien de sa charge érotique…

    Lorsque la danse exotique quitte progressivement les tentes foraines pour s’installer dans les bars, avec l’avènement notamment du burlesque dans les années 50, la barre est automatiquement incluse comme élément indissociable de ce type de numéro.

    Bien sûr, tout comme aujourd’hui, beaucoup de strip-teaseuses n’utilisent alors la pole que comme un simple appui, sans exécuter de véritables figures dessus. 

    Ce n’est que dans les années 70-80 que le strip-tease et la pole dance deviennent véritablement populaires, au Canada et aux USA notamment. Les clubs y fleurissent un peu partout, et le phénomène se communique bientôt à l’Angleterre et à l’Australie.

    L’ambiance généralement bon enfant de ces clubs les rend plus acceptables socialement, et la pole dance peut enfin se développer, lentement mais sûrement. 

    Au début des années 90, Fawnia Mondey, danseuse exotique canadienne, commence à enseigner cet art finalement très complet à des femmes n’ayant rien à voir  avec l’univers artistique, ni avec le monde de la nuit. Elle produit également le premier DVD pédagogique de pole dance.

    Bien sûr, l’image politiquement incorrecte de la pole dance rend assez difficile, dans un premier temps, son acceptation par un large public. 

    Cependant et malgré les préjugés, celles qui osent franchir la porte d’un de ces cours (souvent en cachette de leur entourage) commencent à manifester leur enthousiasme pour les aspects à la fois esthétique, ludique et artistique, mais également très sportif de cette discipline, pourtant encore tellement décriée à cette époque. 

    Peu à peu, d’autres danseuses, comme Tammy Morris et Kelly Kayne (Canada) ou Katie Coates (Angleterre) suivent l’exemple de Fawnia.

    Chacune avec son propre style, ces danseuses et acrobates vont se battre avec le sourire, la bonne humeur et d’incontestables qualités physiques pour faire sortir la pole dance des clubs de strip-tease, et la faire reconnaître pour ce qu’elle est : une fabuleuse manière de développer sa musculature et sa souplesse, en même temps que sa sensibilité artistique et sa confiance en soi, tout en s’amusant et en assumant mieux sa sensualité, et éventuellement sa féminité.

  • Définition #F1221

    Les bases

    La pole dance est un mélange de danse, de figures aériennes et d’acrobatie, essentiellement autour de et sur une ou plusieurs barres métalliques verticales, généralement d’un diamètre de 38 à 50 millimètres. 

    Il existe aujourd’hui différentes théories sur les origines de la pole dance. Le fait même d’utiliser une barre verticale pour exécuter des mouvements plus ou moins gymniques voire carrément acrobatiques remonterait au XIIe siècle en Inde, chez des moines yogis, dans le cadre d’une discipline appelée Mallakhamb, longtemps tombée en désuétude et qui connaît un regain d’intérêt depuis quelques années. Intéressant, mais très éloigné de notre discipline bien sûr, puisque les moines en Inde ne cherchaient évidemment pas à produire un spectacle, encore moins à caractère sensuel !

    Attention, beaucoup confondent encore pole dance et lap dance, alors que cette dernière n’a rien à voir, puisqu’elle consiste à bouger de manière très sensuelle, essentiellement pour une seule personne, assise, et tout près d’elle – en la frôlant, pour lui procurer de troublantes sensations – et en prenant appui notamment sur ses genoux, d’où le nom (lap = les genoux et cuisses quand on est assis, comme dans l’expression lap dog) !

    La pole dance, elle, est au contraire très spectaculaire et acrobatique, et faite pour être vue d’une certaine distance.

  • Reconnaissance et validité #F115

    Présentation de la formation pro

    Mariana Baum, créatrice de l’école Pole Dance Paris et de la formation professionnelle, est Coordonnatrice Pole Dance auprès de la Fédération Française de Danse au plan national. Elle est également vice-présidente de la World Pole Sports and Arts Federation POSA pour l’international, et membre du CID Conseil International de la Danse auprès de l’UNESCO.

    La formation Mariana Baum est aujourd’hui officiellement reconnue par la POSA, ce qui donnera aux stagiaires ayant obtenu leurs certifications une reconnaissance de leurs compétences bien au-delà de nos frontières, leur permettant d’être en contact avec des pole dancers et des enseignants du monde entier, afin de pouvoir continuer à enrichir leur savoir-faire et leur créativité.

  • QCM théoriques #F1141

    Présentation de la formation pro

    10020 fr
    10110 en
    10200 es

    Ils se font en ligne, au moment du choix de chaque stagiaire, une fois que l’organisme a fourni à l’ensemble du groupe le lien correspondant au niveau en cours. Le stagiaire dispose d’un temps limité pour répondre à toutes les questions.

    Bien entendu, les liens d’accès aux questionnaires sont fournis seulement lorsque le stagiairea pu bénéficier d’un délai raisonnable pour étudier et préparer son examen.

    Les questions complètent parfaitement les validations pratiques, car elles concernent la théorie attachée à la discipline et à sa pédagogie.

    S’il s’avérait que les points faibles lors de ces 2 examens sont trop nombreux ou trop importants, le formateur pourra décider de la nécessité pour le stagiaire de repasser, après un délai suffisant pour lui donner toutes ses chances de réussite, tout ou partie de la validation. 

    Dans tous les cas, le stagiaire ne pourra se prévaloir de la certification pour chaque niveau qu’après validation par l’ensemble de l’équipe pédagogique. Il recevra son diplôme à ce moment, pour chaque niveau.

    La certification de chaque niveau sera valable après validation définitive des compétences par l’enseignant, et ce pour l’ensemble des modules concernant le niveau en question. Pour le niveau débutant, après le module 3. Pour le niveau intermédiaire, après le module 6. Et pour le niveau avancé, seulement après le module 9. 

    N.B : Le temps de validation de compétences que comprend la formation fait partie intégrante de cette dernière, et en sont bien entendu une étape-clé.

  • Validation des compétences #F114

    Présentation de la formation pro

    10010 fr
    10100 en
    10190 es

    Elles se font à chaque niveau, une fois que vous avez pu étudier et assimiler tous les contenus, théoriques, pédagogiques, techniques, et que vous avez suffisamment travaillé les mouvements pour les maîtriser.

    Les candidats se voient attribuer un mini-cours à animer, auprès d’élèves de votre choix – qui peuvent être des amis, comme par exemple :

    • tout ou partie des échauffements propre au niveau validé
    • travail technique d’un mouvement (spin, trick, transition ou 2 mouvements enchaînés)
    • travail technique d’une combinaison de mouvements (combo)
    • segment de chorégraphie
    • tout ou partie d’étirements de fin de séance

    Le débriefing se fait ensuite en ligne avec un formateur, qui donne ses propres observations, après avoir demandé au stagiaire son propre ressenti.

    L’appréciation globale, de type A, B, C ou D (éventuellement assortis d’un + ou d’un -)  avec la note du QCM détermine si le stagiaire aura ou non une mention avec sa certification (bien, très bien ou excellent)

    Cette méthode de validation donne d’excellents résultats, car elle permet d’apprécier tous les aspects abordés pendant la formation : savoir-être, pédagogie, technicité et pratique.

    La progression des stagiaires, d’une validation à l’autre, est remarquable tant sur le plan du savoir-faire – technique et pédagogie – que sur celui du savoir-être – qualité de présence, assurance, comportement et gestion du rapport à l’autre. 

    L’efficacité de la méthode tient également au fait que les stagiaires ne savent pas à l’avance sur quel thème ils seront évalués, et doivent donc étudier l’ensemble du programme pour chaque validation de niveau.

  • Matériel pédagogique #F113

    Présentation de la formation pro

    9030 fr
    9060 en
    9090 es

    Pendant toute la durée de votre formation, vous disposerez d’un accès illimité à toutes les vidéos, textes et quizz du niveau concerné, accessible depuis un ordinateur ou un téléphone mobile.

  • Déroulement #F112

    Présentation de la formation pro

    La formation se divise en neuf modules, plus un dixième module optionnel de perfectionnement technique. 

    Vous pouvez étudier la théorie générale et la pédagogie, et travailler tous les mouvements à votre propre rythme, puisque vous avez accès à tous les contenus dont vous avez besoin pour chaque niveau en permanence, et pendant toute la durée de votre formation.

    Cela vous permettra de préparer vos examens en toute sérénité, et de ne passer ces derniers que quand vous vous sentez bien préparé.

    Pour obtenir vos certifications pour chaque niveau, vous devrez passer un test en ligne sous forme de QCM, et vous filmer en train de donner un mini-cours avec un thème imposé.

    Lors de la validation des compétences, la justesse et la netteté d’exécution de chaque mouvement seront bien sûr prises en compte, tout comme la clarté et la précision dans les explications, et la qualité du savoir-être en public (capacité d’animation du groupe, présence…) 

    Le premier module permet à lui seul de dispenser des cours de niveau initiation, c’est-à-dire découverte des bases de la technique et de la pédagogie. Les modules 2 et 3 couvrent le niveau débutant. Les modules 4, 5 et 6 comprennent tout le niveau intermédiaire. Les modules 7, 8 et 9 englobent le niveau avancé.

    Chaque module comprend aussi bien l’apprentissage rigoureux des quelques 250 figures et enchaînements (spins, tricks et mouvements de transition) que leur analyse précise nécessaire à leur enseignement.  La pédagogie elle-même, avec tous les éléments d’accompagnement, d’écoute et de mise en condition, sera bien entendu un thème central. 

    Vous trouverez également sur le site un complément sur les aspects pratiques, matériels, administratifs et légaux lors de l’ouverture d’un studio de pole dance

    Nous vous proposons également 6 modules optionnels : “Perfectionnement technique”, “Prise de parole et aisance en public”, “Scène et performance”, «Assouplissements et renforcement pour la pole dance », “Spécial spinning mode” et “Chorégraphie”.

    Tous les modules accordent en outre une place importante à la préparation physique adaptée aux besoins de l’activité, ainsi qu’à la récupération après le travail. Ces deux étapes se révèlent essentielles pour minimiser les risques de blessure, notamment, et pour être capable d’exécuter les mouvements les plus exigeants physiquement parlant, et dont la difficulté augmente à chaque niveau abordé.

    L’aspect plus artistique de la pole dance, que nous avons toujours choisi de valoriser, est également présent dans le travail sur la chorégraphie, la musicalité, l’appropriation d’un style particulier et, point essentiel, la fluidité et la grâce de chaque mouvement, qui sont le reflet d’une véritable maîtrise dans le cadre d’une discipline à la fois gymnique, acrobatique et dansée.

    N.B : La pole dance est une activité véritablement gymnique et acrobatique. Par conséquent, je recommande à tous les stagiaires de suivre parallèlement des cours réguliers ou des stages intensifs ponctuellement, et de s’astreindre à un entraînement personnel rigoureux. Il est bien sûr indispensable de disposer d’une barre à domicile. Je vous conseille également de prendre le temps de compléter chaque niveau avant de passer au suivant, pour vous permettre de parfaire votre technique.